Désertion
En attendant mon corps se prostitue dans les rues d'une violente agonie. Une fausse indifférence scie mes poignets. Un par un les sentiments se forcent à l'intérieur pour ne laisser en se retirant, une fois repus, qu'un vide effrayant, béant comme cette ville, comme cette vie.
Par aubes, le Dimanche 16 Mars 2008, 17:26.
Commentaires
passionnee-par-les-reves
17-03-08 à 17:26
La première phrase est ... fracassante. Comme je les aime chez toi.
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Re:
aubes
23-03-08 à 01:00
... :) . Vraiment.
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