Si mur il y a
Muet. Bouillant. Et maintenant bras ballants. Non, G., mais je sais ridiculement bien qu'il n'est pas ce dont j'ai besoin.
Dans la rue à voix basse j'y repensais, je ne veux plus jamais laisser quelqu'un me faire ce qu'a fait A. Mais ces sentiments se poignardent sur vous par le dos, et je n'ai jamais réussi à rester adossée au mur.
Par aubes, le Lundi 16 Février 2009, 13:42.