Les automnes la solitude et le temps qui fuit
C'est ici que les mots viennent. Dehors, le vent. Dehors, le ciel. Plus loin, l'entrelacs des routes. Quelque part, un endroit où l'on croit aux choses en devenir. Ailleurs, un endroit où l'on croit à ce qui ne se réalise pas. Ici, des mains glacées alignent des mots insignifiants pour une histoire sans fin, à chute brutale.
Par aubes, le Mercredi 17 Octobre 2007, 17:15.