Ce jour-là votre cravate
En ressortant de là serrer Ma dans mes bras, la serrer longtemps pour qu'elle ne voie pas mes larmes. Monsieur D., si vous saviez comme j'ai pu aimer étudier la branche que vous nous avez enseignée, si vous saviez comme il m'est arrivé d'en être fière. Et comme j'aurais voulu être à la hauteur. (Quelle prétention d'avoir imaginé que.) Monsieur D. vos yeux étaient beaux tandis que vous me serriez la main et vous me demandiez si j'avais peur, j'ai dit oui, vous avez fait comme si vous ne me croyiez pas. Monsieur D. si vous saviez comme j'en ai pleuré derrière la porte close de ma chambre, Monsieur D. je n'ai pas su tenir ma promesse, Monsieur D. je m'en veux. Monsieur D. il est trop tard et Monsieur D. vous n'en avez rien à faire, Monsieur D. je vous demande pardon, Monsieur D. si vous saviez. Monsieur D. ce n'est pas si grave, mais Monsieur D. je suis déception je suis effondrée, Monsieur D. vous avez mon estime, je n'ai pas suffi et je n'ai plus envie et dire qu'il faut, toujours Monsieur D., continuer.
Par aubes, le Mercredi 11 Juin 2008, 20:46.
Commentaires
Mélie
02-07-08 à 23:44
Ca manque, de te lire.
(Et tant pis si je fais les mêmes commentaires à chaque fois que tu disparais.)
J'espère que tu vas bien.
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Re:
aubes
10-07-08 à 18:50
Oh, crois-moi ça manquait, d'écrire ça manquait, de vous lire.
Non, tant mieux.
Et. :) Ca fait du bien de lire ce genre de phrases. Alors je crois que, je vais bien. Oui. Je croise les orteils pour ton pied.
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