Labyrinthe
Peu importe tout ce que je pourrais en écrire en espérant que ça me guérisse, peu importe ma faute, son mépris, peu importe si au bout de plus d'une année d'indifférence il reste pour moi ce il en italique, si je n'ai rien su redresser, si c'est trop tard.
Je regarde dehors le soleil d'hiver s'étaler en une tache floue et lumineuse sur la couche de nuages, l'immobilité et la pâleur des choses. Et même si je vis par-dessus, même si le temps passe j'y pense et je me dis, On n'aura jamais fini d'être écorchés.
Par aubes, le Lundi 19 Novembre 2007, 15:06.