Le soleil le-vent
Oui c'étaient bien des villes entières d'étoiles échouées, et je pourrais vouloir encore quelques escales mais. Lève-, moi l'ancre, partir dériver. Toucher, couler. Tes navires et leurs destinations, me donnent la nausée d'ennui, je ne suis pas de ces terres et comprends-le, jamais. Je ne parle pas ta langue je joue le jeu, s'il te plaît découvre-le largue ton amarre rends-moi mes larges. Tes colons, notre continent, mes horizons. Je hisse le drapeau blanc mais regarde donc, ce ne sont que des voiles oui j'ai, la prétention de guetter le meilleur vent.
Par aubes, le Vendredi 17 Avril 2009, 01:01.
Commentaires
ecilora
20-04-09 à 00:22
Celui-ci est. Je ne sais pas. Mais je me suis laissée happée. Et au diable, que le vent m'emporte.
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Re:
aubes
20-04-09 à 15:57
:-)
Nous emporte, alors.
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